Details
Le cri de la raison
Questions fréquentes en médecine|
2,99 € |
|
| Verlag: | Publishroom |
| Format: | EPUB |
| Veröffentl.: | 28.06.2018 |
| ISBN/EAN: | 9791023608816 |
| Sprache: | französisch |
| Anzahl Seiten: | 138 |
Dieses eBook enthält ein Wasserzeichen.
Beschreibungen
<b>Réponses aux questions fréquentes posées par les patients du CHU ou de la faculté.</b>
<br>
<br>De la puériculture à la fin de vie d'un parent, l'auteur aborde avec une acuité du regard, une expérience et une réflexion rares, des questions que se posent très souvent les patients et qui ne trouvent que très rarement des réponses satisfaisantes... à la faculté et au CHU.
<br>- La maman et son bébé qui pleure
<br>- La "dictature" de l'allaitement maternel
<br>- La famille, l'enfant "terrible"
<br>- La dépression d'où vient-elle ? et la fatigue à répétition ?
<br>- La dépression des enseignants : aïe! aïe !...
<br>- Les médicaments psychotropes : si néfastes que cela ?
<br>- L'anxiété et l'anxieux, ce formidable individu
<br>- Le "French Paradoxe" : la vraie explication
<br>- Le mauvais cholestérol et l'alimentation : aucun rapport !
<br>- Les cystites à répétition. Pourquoi ?
<br>- Le patient en fin de vie, comprendre son attitude
<br>- Et beaucoup d'autres choses ...
<br>
<br>
<b>Avec une acuité du regard, une expérience et une réflexion rares, cet ouvrage aborde un panel extrêmement large de domaines de la santé et propose des réponses ainsi que des réflexions aux patients confrontés à des questionnements.</b>
<br>
<br>EXTRAIT
<br>
<br>Toujours est-il, qu’il est utile de rappeler ces deux principes avant d’aborder une question sur les rapports entre la souffrance au travail et la dépression, concernant une profession où il est notoire qu’il y a beaucoup plus que dans d’autres métiers des dépressions nerveuses.
<br>Toutes les statistiques le montrent, depuis des décennies, c’est dans la profession d’enseignant qu’on remarque, qu’on déclenche, qu’on décompense, peu importe, le plus de dépressions nerveuses.
<br>Le fait est tellement notoire et nécessite une telle gestion spéciale que la MGEN, caisse de sécurité sociale des enseignants, possède ses propres cliniques psychiatriques et ses propres maisons de repos.
<br>Et d’entendre à nouveau Candide qui justement passait par là, s’écrier : « Ben c’est parce que c’est sûrement le métier le plus pénible qui soit ! »
<br>Loin, très loin de nous la plus petite idée qui soit de minimiser la pénibilité de ce si beau et si noble métier. Surtout depuis ces dernières décennies, où le changement de comportement des enfants, sous l’influence sociale et parentale dont nous avons beaucoup parlé, n’a pu que considérablement augmenter cette pénibilité. Ils sont incroyablement courageux ces enseignants qui tous les matins, laissent leur cocon familial pour aller affronter certains garnements et… certains parents de ces mêmes garnements. C’est une évidence. Et personne n’oserait contredire la chose.
<br>C’est la définition même de la souffrance au travail.
<br>
<br>A PROPOS DE L'AUTEUR
<br>
<br>Né en Italie en 1953,
<b>Renzo Palmonari</b> est médecin généraliste encore en activité dans une petite ville d'une vallée des Alpes du sud-Isère et il nous livre, non sans humour mais sans concession aussi, le fruit de son observation tirée d'un demi-million de consultations sur plusieurs générations de patients.
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<br>De la puériculture à la fin de vie d'un parent, l'auteur aborde avec une acuité du regard, une expérience et une réflexion rares, des questions que se posent très souvent les patients et qui ne trouvent que très rarement des réponses satisfaisantes... à la faculté et au CHU.
<br>- La maman et son bébé qui pleure
<br>- La "dictature" de l'allaitement maternel
<br>- La famille, l'enfant "terrible"
<br>- La dépression d'où vient-elle ? et la fatigue à répétition ?
<br>- La dépression des enseignants : aïe! aïe !...
<br>- Les médicaments psychotropes : si néfastes que cela ?
<br>- L'anxiété et l'anxieux, ce formidable individu
<br>- Le "French Paradoxe" : la vraie explication
<br>- Le mauvais cholestérol et l'alimentation : aucun rapport !
<br>- Les cystites à répétition. Pourquoi ?
<br>- Le patient en fin de vie, comprendre son attitude
<br>- Et beaucoup d'autres choses ...
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<b>Avec une acuité du regard, une expérience et une réflexion rares, cet ouvrage aborde un panel extrêmement large de domaines de la santé et propose des réponses ainsi que des réflexions aux patients confrontés à des questionnements.</b>
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<br>EXTRAIT
<br>
<br>Toujours est-il, qu’il est utile de rappeler ces deux principes avant d’aborder une question sur les rapports entre la souffrance au travail et la dépression, concernant une profession où il est notoire qu’il y a beaucoup plus que dans d’autres métiers des dépressions nerveuses.
<br>Toutes les statistiques le montrent, depuis des décennies, c’est dans la profession d’enseignant qu’on remarque, qu’on déclenche, qu’on décompense, peu importe, le plus de dépressions nerveuses.
<br>Le fait est tellement notoire et nécessite une telle gestion spéciale que la MGEN, caisse de sécurité sociale des enseignants, possède ses propres cliniques psychiatriques et ses propres maisons de repos.
<br>Et d’entendre à nouveau Candide qui justement passait par là, s’écrier : « Ben c’est parce que c’est sûrement le métier le plus pénible qui soit ! »
<br>Loin, très loin de nous la plus petite idée qui soit de minimiser la pénibilité de ce si beau et si noble métier. Surtout depuis ces dernières décennies, où le changement de comportement des enfants, sous l’influence sociale et parentale dont nous avons beaucoup parlé, n’a pu que considérablement augmenter cette pénibilité. Ils sont incroyablement courageux ces enseignants qui tous les matins, laissent leur cocon familial pour aller affronter certains garnements et… certains parents de ces mêmes garnements. C’est une évidence. Et personne n’oserait contredire la chose.
<br>C’est la définition même de la souffrance au travail.
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<br>A PROPOS DE L'AUTEUR
<br>
<br>Né en Italie en 1953,
<b>Renzo Palmonari</b> est médecin généraliste encore en activité dans une petite ville d'une vallée des Alpes du sud-Isère et il nous livre, non sans humour mais sans concession aussi, le fruit de son observation tirée d'un demi-million de consultations sur plusieurs générations de patients.
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